Vous y goûterez de belles cerises mais surtout y rencontrerez sans doute
la belle cueilleuse ensorceleuse qui partagera votre vie !
Et à vous Mesdames gare à la tentation : les Milianis ne manquent pas de Grand Charme !
Et à vous Mesdemoiselles, un jeune et beau cueilleur vous prendra sans doute dans ses bras sur un air d'Esméralda comme dit le poète.
Le Mois de Mai à Miliana
Le mois de Mai à Miliana
Sourit déjà de toutes ses dents.
Il nous ouvre tout grand les bras
Comme le ferait un p’tit enfant
Retrouvant ses chers parents
Après une très longue Absence
Ou une longue convalescence.
Sous le ciel bleu par Grand Soleil
Dame Nature s’ouvre à la vie
En arrachant à leur sommeil
Les Champs de blé et les Prairies
Les Senteurs de nos campagnes
Réveillent nos sens affadis
Les Parfums de nos Compagnes
Nous transportent au Paradis.
Depuis que le Temps est Temps
Les Cerises de Miliana
Frémissent au souffle du vent
Porteur de messages de joie.
Dans la longue file des Cueilleuses
Je distingue la Silhouette
De la belle Ensorceleuse
Qui hante mes nuits trop discrètes.
Mon Ami Victime est là
Qui joue de sa Mandoline
Sur un air d’Esméralda
Dans l’espoir que Dame Incline
A lui prêter attention
Au terme de la Procession.
Mais Sans le moindre regard
La Belle passe devant nous
Dans une démarche alanguie
Avec grâce et sans Tabou.
Le mois de Mai est de tout temps
Avènement d’une vie nouvelle
Il surprend agréablement
Par sa beauté universelle.
Bientôt les Belles reviendront
Pour égayer les soirées
De leurs chants et convolutions
Sous un ciel tout étoilé.
Garde bien espoir mon Ami
Le mois de Mai nous est promis
Par Rihame devenue Sirène
et par Salli l’Arlésienne
Avec la complicité
De Dihya en toute beauté
Le mois de Mai à Miliana
Sourit déjà de toutes ses dents.
Il nous ouvre tout grand les bras
Comme le ferait un p’tit enfant
Retrouvant ses chers parents
Après une très longue Absence
Ou une longue convalescence.
Sous le ciel bleu par Grand Soleil
Dame Nature s’ouvre à la vie
En arrachant à leur sommeil
Les Champs de blé et les Prairies
Les Senteurs de nos campagnes
Réveillent nos sens affadis
Les Parfums de nos Compagnes
Nous transportent au Paradis.
Depuis que le Temps est Temps
Les Cerises de Miliana
Frémissent au souffle du vent
Porteur de messages de joie.
Dans la longue file des Cueilleuses
Je distingue la Silhouette
De la belle Ensorceleuse
Qui hante mes nuits trop discrètes.
Mon Ami Victime est là
Qui joue de sa Mandoline
Sur un air d’Esméralda
Dans l’espoir que Dame Incline
A lui prêter attention
Au terme de la Procession.
Mais Sans le moindre regard
La Belle passe devant nous
Dans une démarche alanguie
Avec grâce et sans Tabou.
Le mois de Mai est de tout temps
Avènement d’une vie nouvelle
Il surprend agréablement
Par sa beauté universelle.
Bientôt les Belles reviendront
Pour égayer les soirées
De leurs chants et convolutions
Sous un ciel tout étoilé.
Garde bien espoir mon Ami
Le mois de Mai nous est promis
Par Rihame devenue Sirène
et par Salli l’Arlésienne
Avec la complicité
De Dihya en toute beauté
Abderrahmane
À Meylan le 27 Avril 2010